Alpes-maritimes - Nice (06000)

Serge santucci - yves-marie lequin

Jusqu’au Lundi 31 Août 09

Galerie Des Dominicains

Serge Santucci
Diplômé graveur de l’Ecole Estienne, ancien élève de Raymond Corbin à L’ECOLE SUPERIEUR DES BEAUX ARTS DE PARIS, Prix de LA CASA VELASQUEZ à Madrid, Médaille d’Or du SALON DES ARTISTES FRANÇAIS, grand Prix du BARON TAYLOR, Serge Santucci a un parcours artistique exceptionnel .

Son talent s’est illustré avec la création d’une centaine de médailles en taille directe commémorant la vie de personnages célèbres allant de VAN GOGH et GOYA jusqu’à Lech WALESA et le Général DE GAULLE. Sa signature est reconnue par LA MONNAIE DE PARIS.
Comme Christophe Colomb, il a du sang génois et le cœur bien accroché du côté de la Catalogne, la Castille et l’Andalousie.
Comme lui c’est un visionnaire : le regard toujours au-delà de la ligne d’horizon. Sa sculpture respire le vent du large ; elle fait entendre le claquement des voiles et le glissement de l’eau marine sur l’étrave. L’un et l’autre ont des caractères forgés dans la rigueur, par les exigences de leur métier. L’erreur en mer ne pardonne pas ; Celle du burin dans l’acier non plus. Ils étaient faits pour se rencontrer. Leur œuvre porte le sceau de la durée.

Yves-Marie Lequin
Il peint depuis plus de vingt-cinq ans presque exclusivement des encres et gouaches sur papier, plus de sept mille à ce jour qui sont régulièrement exposées. Elles forment son journal d’artiste et témoignent de son évolution.
Entré chez les Dominicains, il se forme en philosophie et théologie Un long séjour dans des couvents à Londres, à Leicester, à Louvain puis à Paris lui permettent d’approfondir ses recherches en esthétique. Dans ce domaine, il a traduit et annoté le texte grec de la Poétique d’Aristote et propose à la lumière de ce texte ancien une nouvelle compréhension de la situation de l’art contemporain. Il travaille dans le domaine esthétique avec Julia Kristeva, Renaud Camus (qui a écrit sur cette rencontre), le peintre Jean-Paul Marcheschi, l’écrivain Emmanuel Carrère.
Un séjour à New York puis un autre à Saint-Pétersbourg seront décisifs. Il choisit ce qui demeurera sa manière jusqu’à ce jour, à la fois le classicisme des formes et l’abstraction. Vers la fin des années quatre-vingt dix, il décide de se consacrer davantage à la peinture. Ses œuvres servent de support iconographique à diverses publications.
Il compose à Bordeaux une série de grands formats sur le thème de l’Office des Ténèbres. Un autre travail est toujours visible dans l’Église conventuelle de Montpellier dont il a assuré entièrement le décor avec une installation d’un gisant du XVIIIème siècle. A Nice, il a exposé quatre triptyques monumentaux sur le thème des Évangiles dans l’église des dominicains.

Une acrylique sur papier a été choisie pour une exposition de photographies et de peintures à Boston. Une de ses crucifixions est installée dans la basilique Sainte Sabine à Rome.

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